Croquis, chute et connaissance (PVJames)

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Jouant avec mon stylo, je regarde une fois de plus ma montre. Le cour de maths n’est pas encore finie, mais ça devrait déjà être le cas. Le prof à pris une fois de plus du retard et ça nous tombe dessus. Notant encore les deux lignes qu’il nous donne, je m’empresse de ranger mes affaires quand la cloche sonne et de glisser tout ça dans mon sac à dos. Me frayant une chemin dans les couloirs jusqu’a mon casier, je m’empresse de l’ouvrir et d’échanger mes sacs. Laissant mes livres je prend mon sac à dos rouge ou j’ai glisser mon nécéssaire de couture pour les cour à la fac. L’ouvrant j’y glisse quand-même mes livres de maths et d’histoire au cas mes parents l’ouvriraient. Fermant la porte en fer, je presse le pas vers la sortie du lycée tout en enroulant mon écharpe autour de mon cou. C’est ma grosse écharpe dans les tons bleu et violet que j’ai fais en cour de tricot. Elle n’est pas parfaite, mais je l’aime beaucoup.
Traversant le lycée, je grimpe dans le bus alors que les portes se ferment dans mon dos. Passant ma carte, j’essaie de reprendre mon souffle alors que certaines personnes de mon lycée sont un peu plus loin. Me trouvant une place prés des portes, je laisse
mon regard se balader par la fenêtre.

Cela ne fais pas longtemps que je prend des cours du soir à la fac, mais c’est le seul moyen que j’ai trouver. Mes parents pensent que je suis en cour de rattrapage et heureusement qu’ils pensent ça. Ile ne savent rien sur mes passions de couture ou de stylisme et ça aussi c’est très bien. Au moins c’est mon jardin secret. Mon frère Bellamy est au courant, mais il est carrément d’accord avec moi. Je pense que ça l’arrange que je me rebelle face aux parents, ça prouve que je suis de son côté. Même s’il ne faut pas grand chose pour que je soit de son côté…. Face aux parents je suis toujours de l’autre côté. Pas que je soit en pleine crise d’adolescence, mais des fois ils sont carrément à l’opposé de moi et n’essaient pas de comprendre que je me fiche de faire des études de musique vu que je veux faire des études de stylisme.

Descendant à l’arrêt de la fac, je passe le portail et me mélange aux étudiants. Je suis la plus jeune des élèves aux cour du soir et c’est Bellamy qui à signer ma fiche d’inscription. Heureusement que je l’ai lui. Sortant mon porte vue de mon sac, je l’ouvre et prend mon cahier de croquis tout en montant les escaliers du hall pour aller dans les bâtiments arts. Fronçant les sourcil en voyant quelques notes au crayon à papier sur l’un des mes croquis, je me demande pourquoi je n’ai pas effacer alors que je dois rendre 3 croquis de vêtement à mon prof ce soir. Je change de dessins quand je percute quelques chose. Reculant, je tombe sur les fesse alors que mon porte vue s’ouvre sur le sol laissant croquis de robe, veste, manteaux et autres vêtements s’éparpiller sur le sol. « Pardon je voulais pas… » Je fais en bougent mon poignet. J’ai voulu me rattraper en tombant et je me suis fais mal je pense.

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« Excuse moi ! Je suis en grande parti responsable, j'étais plongé dans mon livre, ce n'était pas très malin ! »

Fais finalement la chose que j'ai percuté.Me relevant j'époussette mon jean et commence à ramasser mes feuilles.

« Très jolie tes croquis ! »

Le voyant avec quelques dessins dans ses mains, j'ai un sourire en coin

" Merci, c'est gentil"

Mettent mes autres feuilles dans mon porte vue, je le remercie quand il me donne ce que lui à ramasser? Voyant ses mains venir vers mon poignet j'ai un bref instant de recul quand il me touche avec ces mains.

« Tu t'es blessé en tombant ?! »
"Euh...Non ça va...."

Je fais en croisant son regard.

Ouah c'est un garçon, il doit être étudiant ici je pense. Prenant son livre, je le ferme et lui tend.

"T'en fais pas c'est rien, j'ai juste appuyer dessus en tombant"

Je ne sais pas vraiment si je me suis fais mal ou pas à vrai dire.

"Et toi, tu t'es fais mal? enfin je veux dire, je t'ai fais mal?"

C'est bien mignon de parler de moi, mais lui j'ai du lui faire mal. On s'est quand-même percuté.

"Mon poignet va bien"

Levant ma main à hauteur de son regard entre nous je bouge mon poignet dans tous les sens et je ne ressent aucune douleur.